Yun Kee Naanadmin ∞ sweet & fabulous.Messages postés : 227 Sur LAFS depuis le : 23/11/2012
| Sujet: keenaan ▬ please, give me a carton. Jeu 29 Nov - 1:58 | |
| Yun Kee Naan ft. choi jun hong (zelo, b.a.p)
nom complet : yun kee naan | surnom(s) : texte. | âge & sexe : dix huit ans & je n'ai pas encore testé. | date et lieu de naissance : un jour d'un mois d'une année à séoul. | nationalité : korea. | orientation sexuelle : texte. | statut civil : joke. | profession : étudiant -enchaîne les petits boulot merdique-. | avatar : choi jun hong | groupe désiré : sil-yeon.
~ i melt you down like icecream - En gros.:
Sa véritable mère est une prostitué. Père inconnu. Sa mère décède et il est confié à sa tante. Tout ce passe bien jusqu'à qu'il apprenne la vérité. Il fou doucement la merde dans sa famille et se fait virer le jour où ses "parents" le savent. Il est à la rue depuis peu. Dort chez des amis ou des gens qu'ils rencontre au hasard ou connait vaguement. Son ex le fait passer pour une pute dans son école où il est d'ailleurs malmené par les trois quart des étudiants.
« Kee Naan. On doit te dire une chose.... Tu n'es pas notre fils. » Le temps qui s'était écoulé entre sa phrase et ta réaction fut pire que l'éternité pour toi. Comme si tu tombais dans un gouffre sans fin. C'était comme te dire que tu n'étais rien dans cette famille. Désolé petit, mais tu es une pièce rapportée. Cette femme, que tu considérais comme ta véritable mère, te regardait avec tant d'indifférence. Elle ne semblait pas triste de te le dire, au contraire. Un film défilait déjà devant tes yeux. Un bien triste film maintenant que tu peux le comprendre. Un film en noir et blanc, rayé et tâché. Un film bon à jeter, à oublier, à mettre aux oubliettes. Le film de ta propre vie, celle que tu croyais si parfaite, si belle. Cette vie que tu chérissais tant, avec cette famille et ses tracas. Une famille qui n'est même pas la tiennes. Ou qui ne l'est plus à tes yeux. C'est juste, un ramassis de mensonge. Bien que ta génitrice soit la soeur de cette dame. Bien que tu devrais être l'un des leurs. Ils te considèrent tous comme un point noir, une menace. « Fils de prostitué, on ne sait même pas qui est le père. Quelle honte pour notre famille. comme sa fichue catin de mère. seulement bonne à écarté ses jambes. Regardez où elle est maintenant, sous terre. » Et toi qui pensait que ton enfance si douce et agréable était la tienne, qu'elle était vrai. Au fond, tu as grandis avec des gamins qui n'étaient même pas tes frères et soeurs. Des cousins, certes mais encore des mensonges. Tes parents étaient ta tante et ton oncle. Quant aux restes, tous des hypocrites. Tu les déteste tant. Alors qu'il y a peu, tu les adorais tellement. Ta famille, c'était ton clan, ton chez toi, ton refuge. Tu tenais à eux comme à la prunelle de tes yeux. Tu as vécu avec tant d'amour et d'attention... Masqué derrière des histoires. Ils détestaient tous ta mère et ils te haïssent autant qu'à elle. Un fils de pute et le mot est léger. Tu les hais vraiment. Sur cette note joueuse, la vie reprenait son cours. Mais ils croyaient vraiment que tu allais avaler la pilule sans t'étouffer avec ? Ce serait trop beau. Tu en avais que faire d'eux à présent, après tout le mal qu'ils ont dit sur ta mère et toi. Tu les a entendu, ces langues de vipères. Ils te critiquent, te voient pas mieux qu'elle. « Lui aussi il finira sur les trottoirs. C'est dans les gênes ce genre de chose. Une prostitué comme sa mère! On devrait le foutre dehors maintenant. » Quelle ironie du sort. Et tu as continué de grandir avec ça. Seulement âgé de quinze ans, tu étais bien assez grand pour comprendre ta situation et leurs points de vues. Ils voulaient te mettre à la porte ? D'accord. Mais avant, tu comptais leurs faire ravaler leurs insultes. Durant quasiment trois ans, tu as fait en sorte que ta famille doute, qu'elle commence à se regarder l'un l'autre en chien de faïence. Qu'ils se mettent à planter des couteaux dans le dos des gens, qu'ils s'arrachent le visage, qu'ils se détruisent à petit feu comme ils t'ont anéantit au départ. Et toi. Toi. Tu étais fière du résultat. Ta belle famille si soudé était devenu un champ de guerre. Plus personne ne faisait confiance à l'autre. Ils souriaient mais par derrière, c'étaient tous des chiens. Et tu en étais le maître. Jusqu'au jour où tes sois-disant "parents" comprirent que tu étais la poudre à canon dans le navire en lambeau. « après ce qu'on a fait pour toi, c'est ainsi que tu nous remercie ? Quel sale gosse! Sort de cette maison! Tu ne mérites pas mieux que ta chère mère! VA-T-EN! » Des hurlements encore des hurlements, entrecoupés de sanglot. Une scène d'indignité, choquante et sans pareil. Au moins, tu étais content que ta merveilleuse famille finisse de la sorte. Et en paix soit l'esprit de ta mère, la seule qui faisait sa vie comme bon lui semblait. Cela fait à présent un mois que tu crèches dehors. Un mois que tu squattes chez des potes en leurs promettant de payer tes nuits. Ils ne disent jamais rien, ils t'aident comme ils peuvent mais parfois, tu ne peux pas leur en demander trop. Alors tu t'installes sur un banc, dans un coin tranquille. Tu tape l'incruste dans les bains publiques, fait des petits boulots par-ci par-là pour t'en sortir avec tes études. Un logement ? Tu n'auras jamais assez pour te payer un appartement, encore moins de la nourriture ou une meilleure hygiène. Tu fais juste en sorte de continuer l'école... Bien que là-bas, ce soit encore pire qu'avec ta famille. Si avant tu étais respecté et admiré. à présent, tu es la tête de turc de tout le lycée. Cette fille. Ta petite amie. Tu sortais avec elle depuis bientôt un an. Elle savait tout de toi. Tu lui avais confié tes craintes, ton histoire, tes idées. Tu lui avais dit ton plan pour dissoudre ta famille, mais aussi tu lui avais avoué pour ta mère et ton père inconnu. Pendant une année, elle fut ton sauveur. La seule à te comprendre et à t'aider. Mais du jour au lendemain, quand tu t'es retrouvé dehors ... Tout à changé. Le jeu a prit une tournure différente. Pour elle, tu étais son meilleur jouet. Elle te l'a dit. « Merci pour l'amusement, c'était vraiment agréable. » Cette... Elle avait oser balancer des rumeurs sur toi. Et de fils en aiguille, tu as eu droit à un traitement de sous-merde. « Alors Kee Naan, c'est combien la pipe ? Paraît que tu couches pour par cher ? Aller je te donne dix euro pour te foutre à poil. Tu pourras te payer un mcdo avec! » Et ainsi de suite jusqu'à se faire coincer dans les toilettes ou pousser dans les escaliers. Ils sont tous là à rire de ton malheur, guidé par cette pouffe sans coeur. Et toi. Toi, tu survis dans cet enfer. L'amour n'est pas pour toi. Il a un goût amer et la sensation aussi dure que la pierre. Une vague idée d'un mur auquel tu te serais cogné. Entouré d'hypocrites et écervelés. Mais tu t'en fou. Il te suffit de terminer tes études, d'avoir ton diplôme et te faire la malle de cette ville de malheur. Terminé les bancs, les métros, les bains publiques, les arrêts de bus ou va savoir quoi. Un jour tu vivras comme tous, dans une maison avec un lit, une douche et un frigo. - à savoir.:
C'est un chieur. Il se plaint tout le temps. Il aime avoir raison. Déteste avoir tord. Même quand il a tord, il a raison. Il écoute peu les autres. Il rejette souvent la faute sur le premier venu. Il parle trop pour ne rien dire. C'est une tête à claque. Il a horreur des pigeons. Il écrit son nom sur les bancs qu'il squatte. Son sourire est aussi souvent collé à sa face que ses différentes moues qu'il aborde pour s'exprimer. Il adore bouder ou faire la grimace. Il s'exprime principalement en faisant des grands gestes. Il se croit super intelligent mais dispose d'un cerveau aussi gros qu'un pois chiche. Il est impatient et ne tient jamais en place. Il crie pour se faire comprendre. Tape quand la parole marche pas. Il affectionne particulièrement le coup du lapin, donner rendez-vous et ne pas venir. Sa mémoire est aussi infinie d'un brin d'herbe. Il est adepte du "pierre-papier-ciseau" pour obtenir ce qu'il désire. Il lui arrive de dormir dehors, faute de logement. . il inverse tout les dictons. Il n'a jamais comprit le sens de "de rien" quand on il dit merci. Il se pose trop de question idiote. Il lui arrive de se "baigner" dans les fontaines des parcs. les gens le traitent parfois de fou. Il se trimbale un saint-Bernard depuis peu.
On t'a souvent qualifié de merdeux. Quoi que tu fasses, tu t'en plains. Certains disent que tu n'es jamais content, que tu passes ton temps à râler ou à faire reproche. Jamais satisfait. La moindre chose qui te convient, ne plaît que très rarement à autrui. à croire que personne n'est sur ta longueur d'onde. On te juge de chieur. Ils disent que tu veux toujours avoir raison et que tu déteste avoir tord. Tu parles beaucoup et sûrement de trop. Et que même si tu même en étant en tord, tu te dis avoir raison. Un cas qui énerve plus d'un quand on cherche à se rapprocher de toi. Au final, les gens se lassent de parler à quelqu'un si emmerdant et têtu, qui ramène trop de chose à lui sans penser aux autres. Un égoïste de première. Mais tu as toujours une excuse. Ce ne sont pas eux qui te trouveront un toit et un boulot plus valorisant que les précédents, avec un bon salaire à la clé. Ils se permettent de critiquer mais ils ne vivent pas ton calvaire. Certes, tu n'écoutes pas les gens, tu te fiches de leurs conseilles... Parce que tu es sûr qu'ils ne pourront jamais conseillé un cas qu'ils ne connaissent pas. En même temps, tu es le genre de personne qui ne se reproche quasiment jamais rien. Tu trouves toujours un coupable à ta bêtise. Comme tu peux accuser ta famille que tu sois aujourd'hui à la rue ou bien même cette fille d'avoir tourné les gens contre toi. De ton point de vue, le monde s'acharne sur toi sans que tu y sois vraiment impliqué. Une façon quelconque d'échapper à la réalité des faits. Que rien ne se passerait ainsi si tu faisais plus attention, si tu t'étais un chouia méfié. Une vraie tête à claque. Quand tu l'ouvres, on a directement envie de t'enfermer pour ne plus te voir ou t'entendre. Un moulin à parole, et pas forcément des plus purs et innocents. Mais quand on cherche à te connaître, on se rend compte que beaucoup de chose sont là comme des barrières. En vérité, tu es un garçon attentionné qui aime plaire aux gens qu'ils aiment. Tu ferais n'importe quoi pour les voir sourire. Quitte à être un bouffon et monter un numéro ridicule. Au fond. Tu te cherches encore. Borné, stupide, rieur, attendrissant. Tu peux montrer plusieurs facettes comme tu peux très bien les cacher. Bien que tu te crois intelligent et cherche à le faire valoir, ton cerveau n'est pas plus grand qu'un pois chiche et ta mémoire aussi courte qu'un teaser. Tu es assez agaçant quand tu t'y met. Toujours à faire de grand geste pour t'exprimer et faire comprendre... Ou taper quand cela ne mène à rien. Un brin impulsif pour un gamin susceptible. Peut-être que tu veux te faire passer pour un dure sans coeur mais tu ne peux ignorer ce côté sensible qui te rend si vulnérable. Quand on te critique, quand on te trahit, quand on te piège, quand on t'insulte ou qu'importe comment on peut te faire du mal... Dans ces moment là, tu l'encaisses très mal. Sauf que face aux gens, il y aura toujours ce masque. Que tu boudes ou reste impassible, les véritables sentiments que tu ressens se terre au fin fond de toi, bien dissimulé derrière ton sale caractère. Dynamique, impatient, tu passes souvent pour un hyperactif drogué au café sans sucre. Toujours à bouger, à fatiguer les autres, à parler vite, même à agir rapidement. Peu arrive à te suivre dans la course qu'est ta vie. Une vie que tu cherches souvent à comprendre avec des questions stupides.. Comme savoir pourquoi une banane est jaune et pourquoi la mer est bleu alors que l'eau est translucide. Des milliers de questions auxquelles personne ne pourra jamais te répondre. Voila comment tu es. Un adolescent qui se cache aux yeux des autres pour ne plus souffrir et se protéger du mieux qu'il le peut.
◗ si je te dis " amour " ... à quoi tu penses ? C'est comme la confiture, plus tu l'étales, moins tu en as. vous m'aurez posé la question l'année d'avant, je vous aurais fait un joli roman sur l'amour et ses bien-faits. Comme quoi ça peut toucher n'importe qui, même le plus con des hommes. D'ailleurs, tu deviens bien con avec ce foutu sentiment à deux balles. Mais aujourd'hui, je ne saurais même pas capable de faire une réponse positive à votre question. Alors l'amour. ça rime avec rien. néant. que nenni. juste une merde de plus dans ma vie. le coup-de-foudre, tu l'as déjà vécu ? qu'en penses-tu ? je l'ai vécu, au passé antérieur de l'indicatif. Mais je dirais plus que ce serait un coup dans la gueule. Celui qui t’assomme et te fait chanceler. Peut-être l'ai-je ressentis qu'une fois mais c'était sûrement la dernière. C'est tellement... gniangnian. puéril. idiot. ou qu'importe le mot pour traduire que c'est d'une nullité flagrante et déconcertante.comment te comportes-tu avec tes conquêtes ? on peut pas vraiment dire que j'étais le meilleur petit ami sur terre. Peut-être aussi talentueux et attachant qu'une porte de prison. et bien que je ne sache exprimer correctement mes sentiments, je fais en sorte que la personne le comprenne.. à croire que ce n'était pas le cas avec elle ou que je suis vraiment nul et incompétent dans ce domaine. Pour répondre à la question, je suis comment je suis au naturel. qu'est-ce que tu recherches en particulier chez quelqu'un ? Je recherche rien. ou plutôt. J'ai cherché des trucs par le passé. Une attention particulière et féminine que j'ai rejeté avec ma famille. Un regard compatissant et des mots rassurant. La beauté ne m'importait peu, je voulais juste être compris et écouté. Voila, je cherchais une oreille mais aussi une épaule sur laquelle me reposer. Aussi un comportement chaleureux tenu d'un instinct maternelle et réel. es-tu déjà tombé amoureux ? ça fait une heure que je t'en parle, tu écoutes au moins ? Tu n'as pas compris que oui, je suis déjà tombé amoureux ? T'es aveugles ma parole. J'ai aimé une seule et unique fille dans ma vie d'adolescent et je le regrette franchement. Si j'avais su, je me serais fait gay et soumis. Mais je ne m'étalerais pas plus sur cette question. est-ce que ton coeur à déjà été brisé par quelqu'un ? Oui. C'est idiot. J'avais confiance en elle. Je lui parlais absolument de tout et parfois de n'importe quoi. Pour un gars qui ne savait exprimer ses sentiments, j'aurais déplacé ciel et terre. Aujourd'hui je me retrouve avec une main devant, une main derrière. ça va vite les rumeurs, et la plus part sont fausse. Mais comme elle me l'a dit, un jouet reste un jouet. Quand je pense que j'ai brisé ceux de ma famille... Nothing regret.
behind the computer ~ ✝ votre pseudo : ena, lemon. ✝ âge & pays : 20 ans et france -quejevisitebeaucouphaha-. ✝ nombre de mots/lignes : plus de mille possible. ✝ fréquence de connexion : tout les jours. ✝ où/comment avez-vous trouvé le forum : da fuck. ✝ ton avis sur celui-ci : je suis comme une grand-mère qui gagatise devant ses petits enfants **. ✝ personnage provenant de scénario ? : scénario de ma tête. ✝ code du règlement : . ✝ mot de fin ? : avant tout, je m'aime mais vous avez tous une place dans mon petit kokoro fragile et étroit. faudra se coller un peu, quand même ♥. |
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